Le droit à l’erreur
Cette semaine sur Se Regarder Voir, j’aborde à partir d’une expérience personnelle la culture du droit à l’erreur.
Comme à chaque épisode, je me regarde voir et me vois regarder la manière dont j’évolue dans une situation.
Cette fois, le fait d’avoir publié auprès de mes abonné·e·s une newsletter contenant une erreur flagrante dès la première ligne : le non-remplacement de la balise d’intégration du nom de la personne.
Cette mésaventure m’a mené à explorer le droit à l’erreur dans les organisations et les dilemmes ou paradoxes vécus par les êtres humains qui y vivent.
Il est demandé à chacun d’accorder le droit à l’erreur aux autres.
Comment le faire si je ne suis même pas en mesure de VRAIMENT me l’accorder à moi-même ?
Lire l’article de blog associé… : https://www.se-regarder-voir.com/le-droit-a-lerreur/
Pour résumer
- Il est important de distinguer erreur et faute.
- La culture du droit à l’erreur n’existe pas dès l’instant où nous la décrétons, elle émerge, se construit.
- Comme le masque dans l’avion, appliquez-vous le droit à l’erreur à vous-mêmes avant tout.
- Avec de l’entraînement, l’impact de l’erreur reste présent, mais dure moins longtemps.
Quelle est votre relation personnelle au droit à l’erreur ?
Que vivez-vous, en lien avec ce thème, dans les environnements que vous fréquentez le plus ?
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